L’un des problèmes du camouflage de l’homme c’est que même s’il est camouflé chromatiquement, il conserve toujours son relief humain caractéristique.

Ce terme anglo-saxon qui, aujourd’hui, s’est internationalisé pour nommer un type de vêtement, est né du gaélique écossais “ghille”, des jeunes garçons qui interdisaient la pêche et la chasse furtive en terre écossaise.

La première donnée connue de l’utilisation de la “ghillie suit” comme telle par une unité militaire remonte à la Seconde Guerre Mondiale et fut employée par une unité britannique de tireurs appelée Lovat Scouts.

Dès la Première Guerre Mondiale, des soldats utilisaient des matériaux des alentours en les adaptant à leurs uniformes pour mieux se fondre dans l’environnement.

La technique utilisée par le sniper se caractérise ainsi :

• Il est décidément offensif ! D’ailleurs, la capacité de tir sera nécessairement moins élevée que celle du groupe adverse et elle ne peut pas compter sur le soutien ou les renforts de son équipe. Il est impossible que ça les fasse fuir. Le résultat sera inévitablement fatal, par conséquent, il est inutile d’essayer de maintenir ou de défendre une position fixe. Son objectif sera de les dépister, de les mettre sur la défensive, d’être une épine dans leur pied.