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Bizarreries de l’Histoire : le renifleur de « Charlies » et les buffles d’eau

 

La guerre du Viêtnam est un conflit belliqueux qui opposa entre 1964 et 1975 le Sud Viêt-Nam, soutenu principalement par les EU, au Nord Viêt-Nam et au Viêt-Cong (FNL, Front National de Libération) aidés par l'URSS et la Chine. Il ne s'agissait pas une guerre au sens traditionnel du terme ; au lieu de fronts, les ennemis s'affrontaient dans une logique de guérilla, où les bombardements arbitraires, les destructions massives, et l'usage d'armes chimiques (napalm) étaient fréquents.

La supériorité des Américains sur le plan aérien (bombardements, emploi massif d'hélicoptères Cobra) obligea les « Charlies » (surnom que les Américains donnaient aux membres du Viêt-Cong) à construire un réseau de tunnels dans la forêt qui leur permettait de s'abriter.

 

 

Estas auténticas ciudades bajo tierra eran difíciles de localizar y, además, estaban plagadas de trampas. Ante esa dificultad el ejército americano puso en marcha la Operación Snoopy que consistió en desarrollar un sistema que podía localizar la presencia humana… el People Sniffer (olfateador de personas). El sistema en cuestión, desarrollado por General Electric, detectaba la emisiones de amoníaco que produce el cuerpo humano a través de la orina o del sudor. Se construyeron dos versiones: una montada en helicópteros (XM3) y otra portátil (XM2).

Ces véritables villes souterraines étaient difficiles à localiser, et, de plus, bourrées de pièges. Face à cette difficulté, l'armée américaine lança l'Opération Snoopy qui destinée à développer un système capable de détecter la présence humaine... Le People Sniffer (renifleur de personnes). Le système en question, conçu par General Electric, détectait les émissions d'ammoniac que produit le corps humain à travers l'urine ou la sueur. Deux versions furent réalisées : la première montée sur hélicoptère (XM3), et l'autre portable (XM2).

Au terme d'essais concluants, elles furent envoyées au Viêt-Nam en 1968. Ce fut un échec retentissant. L'instrument signalait en permanence de faux positifs de présence humaine, les autres sources possibles d'ammoniac n'ayant pas été prises en compte, comme celles dues à l'urine des milliers de buffles d'eau utilisés dans les rizières.

Source : Historias de la Historia